S’ils s’opposent à bien des égards, écologistes de gouvernement, écologistes des petits pas, écosocialistes et écologistes radicaux ont un point commun. Qu’ils ambitionnent un poste ministériel, fondent une Amap, écrivent le programme d’une future « vraie gauche » ou tentent de faire de l’écologie un levier de bouleversement social, tous mettent la « question écologique » au centre du monde actuel, comme si elle obligeait aujourd’hui à redéfinir ce qu’est le capitalisme, et ce que serait sa nécessaire et possible transformation. Tous également se veulent réalistes et se vantent d’agir sans se payer de mots.
Mais quel est donc le bilan des actions qu’ils mènent depuis maintenant plusieurs décennies ? LIRE LA SUITE
Dixit
Chaque fois qu'à la place de prolétariat, je lis "peuple", je me demande quel mauvais coup on prépare contre le prolétariat.